Lors d'une abrivado dans les rues d'une petite ville gardoise, un torro de combat qui m'arrive pleine face poursuivi par une dizaine de cavalier au grand galop. J'allais déclencher quand on m'a tiré sur le bord de la rue. Les cornes m'ont raté mais un sabot m'est passé sur le pied (p**ain que c'est lourd ces bestiaux) et je n'en n'avais jamais vu un d'aussi près.

Pourtant, il avait l'air moins gros à travers mon 24...

Depuis, quand mes sujets bougent, je les photographie avec les DEUX yeux ouverts !