Nila a écrit:J'ai lu il y a quelques mois un ouvrage relatant la vie du créateur des chambres de la mort nazi et notamment toute la psychologie du perso cela en est troublant (sans pour autant l'excuser bien sur!!)
Pour moi, le dernier de Dan Brown, passionnant sur la franc maçonnerie, sujet que je ne connaissais pas du tout. Le bouquin m'a emmené d'un bout à l'autre sans que je m'en rende compte comme les précédents. Encore faut-il aimer ce genre ! et puis et puis, qui vient d'arriver aujourd'hui même "obtenez le meilleur du nikon d300s" de Jérome Geoffroy... celui-ci me prendra peut-être plus de temps !
Nila a écrit:J'ai relu le Seigneur des anneaux, j'ai débuté une lecture des ouvrages de la série True Blood si quelqu'un connait...et je suis sûre Millenium numéro 2 depuis quelques mois (peu de temps). Je conseille en livre Shane Stevens qui est le 1er écrivain sur le thème de tueur en série, ça vaut vraiment le détour pour la psychologie du personnage. J'ai lu il y a quelques mois un ouvrage relatant la vie du créateur des chambres de la mort nazi et notamment toute la psychologie du perso cela en est troublant (sans pour autant l'excuser bien sur!!)
Le Shane Stevens se nomme "Au delà du mal" et c'est pour moi un des plus grands thrillers de tous les temps, ce livre est stupéfiant de violence, physique et cérébrale
horacio a écrit:Un grand classique pour moi : Fondation, d'Isaac Asimov
Ah oui Une référence ! Il faut lire Asimov, tout Asimov ! Fondation, Les robots (les nouvelles, mais aussi les romans : Les cavernes d'acier, etc.), c'est une mine Dick aussi est chouette
Libby Day avait sept ans lorsque sa mère et ses deux sœurs ont été assassinées dans leur ferme familiale. Rescapée par miracle, la petite fille a désigné le meurtrier à la police, son frère Ben, âgé de quinze ans. Au début des années 1980, ce fait divers a ému toute l’Amérique et la jeune Libby est devenue une sorte de symbole de l’innocence bafouée. Vingt-cinq ans plus tard, alors que son frère est toujours derrière les barreaux, Libby, qui ne s’est jamais remise du drame, souffre de dépression chronique. Encouragée par une association d’un type très particulier, elle accepte pour la première fois de revisiter les lieux sombres de son passé. C’est là, dans un Middle West désolé, dévasté par la crise économique et sociale, qu’une vérité inimaginable commence à émerger. Et Libby n’aura pas d’autre choix pour se reconstruire, et, peut-être enfin recommencer à vivre, que de faire toute la lumière sur l’affaire, quelles qu’en soient les conséquences.
D'une ville qui semble sur le point de disparaître, Anna Blume écrit une lettre dont on ne sait si elle trouvera jamais son destinataire. Cet ailleurs presque indéfini, ce pays des dernières choses (c'est, littéralement traduit, le titre de l'édition anglaise) a une force symbolique d'autant plus efficace qu'elle défie en nous un passé de terreurs et d'apocalypses en même temps qu'elle renouvelle les interrogations auxquelles nous oblige parfois notre perverse relation avec le langage. Mais la force et le talent de Paul Auster, révélé en France par sa fameuse Trilogie new-yorkaise, c'est de faire sentir le poids de ces oppressions sans jamais s'éloigner d'une " aventure " infiniment romanesque par laquelle on reste fasciné du commencement à la fin.